Avec “La Bête”, Betrand Bonello présenté en Compétition Venezia80 du Festival du Cinema de Venise, nous amène dans la science fiction à sa manière. On voyage dans le temps , on vis dans un futur où l’intelligence artificielle commande, mais tout est basique, pas de vaisseaux spatiaux ni de planètes lointaines. Le voyage est un voyage fantastique dans l’esprit et la force des sentiments que la technologie veut déclarer obsolètes et dangereux.
L’intime et le spectaculaire
L’intention pour “La Bête” était d’entremêler l’intime et le spectaculaire, le classicisme et la modernité, le connu et l’inconnu, le visible et l’invisible. Dans un monde dystopique, l’amour existe mais devient presque un obstacle, un problème qui dérange les machines qui nous manipulent.
La mémoire et les plans temporels
La mémoire nécessite d’être modifié, et pour le faire on doit se déplacée sur plusieurs plans temporels. On doit faire attention pour ne se perdere pas dans cette narrative fascinante, et apparemment très facile pour le réalisateur à gérer.
Plot
Dans un futur proche où règne l’intelligence artificielle, les émotions humaines sont devenues une menace. Pour s'en débarrasser, Gabrielle doit purifier son ADN en replongeant dans ses vies antérieures. Elle y retrouve Louis, son grand amour. Mais une peur l'envahit, le pressentiment qu'une catastrophe se prépare.