“God Is A Woman” de Andrés Peyrot part de la retrouvaille d’un film jamais sorti, qu’on croyait perdu sur la communauté Kunas de Panama, et arrive à reconstruire le film, en ajoutant la contemporanéité des lieux et des gens qui avaient été impliqués dans le film original. Le tire ne change pas, en hommage à Pierre-Dominique Gaisseau, le réalisateur.
La chance de la découverte de l’original
On savait de l’existence du film orignal “God Is A Woman” de Andrés Peyrot, et il a fallu des années pour retrouver les bobines du tournage. La chance d’avoir étés préservés parfaitement, a donné au réalisateur un enthousiasme supplémentaire pour se jeter dans le projet.
Una grande émotion 50 ans après
La décision de restaurer le film et de aller le montrer au Kunas, qui avait pour la première fois il ya 50 ans eu un contact avec le cinéma et le onde des images, a ouvert un discours émouvant et profond sur le concept de l’image de soi et de la représentation d’elle à l’extérieur.
Plot
En 1975, Pierre-Dominique Gaisseau, explorateur français fraîchement oscarisé pour son documentaire Le Ciel et la Boue, se rend au Panama pour réaliser un film sur la communauté fermée des Kunas, où la femme est sacrée. Gaisseau, sa femme et leur fille Akiko vivent avec les Kunas pendant une année. Mais le projet fait faillite et la copie est confisquée par une banque. Cinquante ans plus tard, les Kunas attendent toujours de découvrir « leur » film, devenu une légende transmise par les plus anciens aux plus jeunes. Un jour, une copie cachée est retrouvée à Paris…